L’éloge de l’éphémère.

Je n'avais pas encore six ans lorsque je découvris que l’éphémère était impérissable. Ce fut aussi mon premier contact avec cette chose bizarre, la mort, un truc d’adulte ! C’était en juillet, une après-midi douce et lumineuse… Où ? Je ne sais plus… J’ai l’image d’une terrasse blanche, d’une table en ferronnerie, blanche aussi, et de … Lire la suite L’éloge de l’éphémère.

Lou

31 juillet 2012, il est dix-huit heures et vingt minutes Sur le chemin bas de Bury Un, deux, six, vingt papillons ouvrent la voie, Une jeep roule dans l’horizon du champ de blé, Un GI en uniforme au volant Un photographe cadre pour la Paix* Un, deux, six, vingt papillons ouvrent la voie, La poussette … Lire la suite Lou